
La cité interdite était le palais principal des empereurs chinois, ceux qui bien sûr avaient adopté Pékin comme capitale. L'on pourrait rester une journée à se perdre dans le dédale des pagodes. Marquent particulièrement l'aveuglant reflet du soleil sur les tuiles emaillées et les mille et unes intrigues qui s'y nouérent: dans les multiples cours du palais nous sont relatés comment tel empereur séduit par les poémes déclamés par telle concubine en oublia tant ses devoirs de chef que son régne périclita. J'appris à l'occasion qu'un proverbe chinois dit quelque chose comme: "la femme belle est porteuse du désastre", qui se réalisa maintes fois au cours de l'histoire du pays. On pense aussi à Hélène de Troie et se dit que les civilisations sont parfois très proches.
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